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L'univers japonais est un univers très culturel. Les japonais sont accrochés à leurs traditions et leurs cultures. Et il y a de quoi. Cet univers est très riche. Entre les différentes cibles éditoriales, il y a de quoi s'y perdre. Mais le Japon n'est pas limité que par ses mangas. Le pays possède aussi une richesse mythologique, sociétale et technique démesurées. Dans tous les cas, le pays est connu pour être démesuré. 

Les mangas sont généralement publiés au préalable dans des magazines. Ces magazines sont catégorisés, pour la plupart, par leur cible éditoriale. Il existe 3 cibles éditoriales : le Shonen, le Seinen et Le Shojo, respectivement garçon, jeune adulte et fillePar exemple, le Monthly Afternoon est un magazine Seinen, le Monthly Comic Blade cible le Shonen et le Ribon recense les Shojo.

Ensuite, si le manga a fait un certain nombre de chapitres, il peut être publié en livre et donc publié à l'étranger. 

Après publication au Japon, les mangas sont publiés et reclassés par les éditions françaises, les plus connus étant : Glénat, Akata, Pika Editions, Kana, etc...

Par la suite, si le manga a été un succès, il peut être adapté en animé. Mais il ne faut pas croire que tout animé provient d'un manga. Certains sont tirés de Light Novel (les romans japonais) ou de Visual Novel (des jeux vidéo scénarisés avec choix). 

La longueur des mangas et des animés est variable. La plupart du temps, ceux qui sont les plus longs sont ceux ayant le plus de succès au Japon. Mais bien évidemment, les exceptions sont nombreuses. Et je ne suis pas une grande adepte de la longueur.

Ici, je parlerais avant tout des Shojos pour la simple et unique raison que je les préfère. Les Shojo sont, dans une grande majorité des cas des Slice of Life ou School Life. C'est-à-dire, que c'est dans les Shojo que je trouve le plus de mangas réalistes. Je les adore car, de cette façon, je peux juger la société qui est décrite et voir peut-être un message engagé. La première raison de mon affection pour les Shojo est la présence de romance dans une grande majorité. Et les Shojo non romantique ont parfois un lien avec l'histoire ou la réalité qui peut m'attirer. Par exemple, "La Fillette au Drapeau Blanc" est un Shojo qui parle d'une véritable petite fille à l'époque de la deuxième guerre mondiale. Donc la romance n'est pas présente mais des faits réels, oui. 

Je parlerais aussi de Visual Novel ou d'Otome Game (des Visual Novel adressés aux adolescentes). 

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